PS 342La Gendarmerie nationale opère en Guyane française sur un territoire très particulier où la criminalité organisée est une menace sur fond de trafics, pillage des ressources, filières d’immigration clandestine, violence exacerbée.

En 1998, le Conseil de l’Union européenne a défini le crime organisé. La Guyane française regroupe la quasi-totalité des domaines d’infractions privilégiés des groupes criminels, listés par Interpol : traite des êtres humains, trafic de drogues, trafic de marchandises et d’armes, vols à main armée, blanchiment d’argent…

Dans sa lutte la Gendarmerie n’est pas seule Elle s’appuie sur des partenaires solides et fiables : armées, justice, Police nationale, services préfectoraux, finances publiques, douanes, rectorat, agence régionale de santé… qui partagent l’objectif à atteindre d’une Guyane apaisée et sécurisée.

Les objectifs visent à réduire la délinquance, à contenir l’extraction aurifère illégale et à lutter contre la criminalité organisée en l’empêchant de se structurer et d’étendre son influence. Lire revue 342